Informations

  • Durée 1h50
  • À partir de 14 ans

Tarif B Découverte : de 8€ à 20€

Il y a deux ans Normalito avait charmé le public de l’EMC. Nous retrouvons Pauline Sales avec sa nouvelle création : une réécriture du mythe de Perséphone avec huit artistes interprètes et musiciens.

L’enlèvement de Perséphone par Hadès et sa recherche éperdue par sa mère Déméter est un des plus grands mythes de l’Antiquité. Les deux déesses se présente comme une réécriture contemporaine, théâtrale et musicale de ce mythe. La musique, mêlant électro et acoustique participe au réalisme magique du texte qui nous conduit de l’Olympe, sur terre et en enfer, dans un monde où les dieux vivent parallèlement aux humains. Le récit porte en son sein beaucoup de sujets qui nous préoccupent aujourd’hui. Il y est question d’inceste, d’écologie, d’émancipation, de renaissance. Dans une langue concrète et poétique, nous traversons une grande épopée d’aujourd’hui avec deux héroïnes qui se révèlent à elles-mêmes, au fil des épreuves qu’elles traversent.

Distribution

Compagnie À L’Envi
Texte et mise en scène
Pauline Sales
Musique
Mélissa Acchiardi (batterie, percussion), Antoine Courvoisier (clavier), Nicolas Frache (guitare), Aëla Gourvennec (violoncelle) et Simon Aeschimann
Interprètes
Mélissa Acchiardi, Clémentine Allain, Antoine Courvoisier, Nicolas Frache, Aëla Gourvenec, Claude Lastère, Élizabeth Mazev, Anthony Poupard

Production

En résidence au Théâtre Jean Lurçat – scène nationale d’Aubusson | Construction des décors par l’Atelier de la MC2 : Grenoble | Coproduction Les Quinconces L’espal — scène nationale du Mans ; La Halle aux grains — scène nationale de Blois ; Théâtre Jacques Carat à Cachan ; L’estive, scène nationale de Foix ; La C.R.E.A – Coopérative de Résidence pour les Écritures, les Auteurs et les Autrices – Mont Saint-Michel- Normandie ; scène nationale d’Aubusson ; TGP – Centre dramatique national de Saint-Denis ; EMC – Saint-Michel-sur-Orge ; MC2 – Grenoble | La Compagnie À L’ENVI est conventionnée par la DRAC Île-de-France.

Crédits

Aglaë Bory

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